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Mon engagement politique
Pas de promesses, des résultats !
Redonner à l’homme sa réelle dimension en reconstruisant un mode de vie au visage humain qui n’aura plus désormais la pression économique pour unique ambition. Mon souhait le plus sincère que nous devons partager est celui de la réunion de tous les gouvernements du monde qui devraient se mobiliser pour éradiquer la famine, la misère et la
souffrance.
C’est l’objectif humain que nous nous devons d’atteindre afin de l’associer à notre progrès.
Au nom de tous ceux qui représentent un pays riche et qui luttent chaque jour pour avoir la volonté de réussir pour eux-mêmes et pour les autres.
Cet homme ou cette femme au tempérament battant, progressiste, fier et attaché aux valeurs du travail et de la famille, c’est de vous dont je parle dans les pages qui suivent et c’est avec vous que je souhaite que nous nous élevions vers les sommets de la lumière et de la gloire. J’ai donc décidé de soumettre ce dossier à nos dirigeants.
L’homme n’est pas une machine parfaite, ni un robot, la vie, pour les 6 milliards d’habitants de notre planète ne pourra jamais être parfaite ; c’est précisément l’ensemble modulable de nos forces et nos faiblesses qui doivent nous motiver à comprendre les différences entre les hommes.
Agir par la violence pour obtenir la paix n’a jamais été la solution, nous constatons tous que la politique de ces dernières décennies fondée sur le profit débouche inexorablement sur un échec social de notre société, le profit pour le profit pour seul ambition nous appauvrît matériellement et intellectuellement.
Notre pays et notre institution n’a plus le temps de régler les problèmes et d’écouter l’autre, police, administration fiscale et les pouvoirs publics ont malgré eux été coupés du lien indispensable à entretenir avec les citoyens, la division de notre société nous heurte et génère une animosité collective.
Réfléchissons ensemble
Permettez-moi de vous entretenir sur les grands sujets de la vie.
Comme vous, je connais la vie sous toutes ses facettes, parfois sombres et aussi lumineuses.
Je crois aux forces du destin collectif et individuel, aux énergies humaines positives qui peuvent transformer notre société pour réunir le meilleur qui est en nous.
Après 20 ans d’expériences humaines, dans l’échec comme dans le succès, j’ai voulu mettre au profit de l’avenir de notre société, mes expériences conjuguées avec les vôtres,
pour construire ensemble l’édifice d’une nouvelle société qui prend sa sève dans la richesse humaine.
Il y a des causes nationales ou mondiales qui n’appartiennent à aucun horizon politique, si ce n’est celui de l’humanisme. Une règle essentielle qui place l’homme au premier plan
devra être un exemple pour demain.
Saviez vous qu’il existe une jeunesse d’enfants et d’adolescents maltraités dont les parents marginaux ne font l’objet d’aucune surveillance, cette jeunesse à laquelle on a brisé les ailes, part dans la vie avec un énorme handicap et perd la chance de réussir leur vie, peu s’en sortent car, isolés et marginalisés à leur tour ils répètent hélas le même schéma qu’ils ont subit. Il est important et prioritaire de structurer un accompagnement sous forme d’un parrainage social.
Il n’y a donc pas que dans les pays sous–développés que l’on peut être scandalisé par le travail des enfants alors que les adultes en cherchent, nous sommes à contre courant et à côté des véritables priorités des Français, hors pour exemple la légalisation du statut des homosexuels est devenue plus importante que les conditions de vie de chacun.
L’enfance en danger, le suicide des personnes âgées, la précarité qui s’étend, le problème de l’immigration, la délocalisation et la fin des rapports humains.
Mariella MADONNA
Monsieur le Président de la République,
Au nom de tous ceux qui soutiennent ma démarche ainsi que ceux qui me posent de multiples questions sur le devenir de notre société, permettez-moi de saluer les efforts que
vous poursuivez pour assurer un meilleur destin à notre pays.
La crise de conscience que la planète traverse est aussi une crise économique qui mériterait un large développement et une mise à plat de l’ensemble du socle social qui ne correspond plus à l’évolution de notre société.
Ce n’est pas en figeant sur la récession, en augmentant les impôts et taxes en tout genre, en faisant chuter la croissance que l’on sortira de la crise, c’est un moyen inexorable qui
nous conduit dans le mur par un fatalisme déconcertant. C’est le laissez faire des perdants.
Plus tard l’Allemagne risque de payer une note particulièrement salée car aucune stratégie de croissance n’est en perspective, politique trop figée, d’une rigidité fragile.
Les levées de fonds aujourd’hui vont systématiquement aux banques et ne rentrent jamais dans l’économie.
Il faudrait peut-être laisser de côté les grandes leçons sur les règles budgétaires afin de se libérer de l’esclavage économique pour progresser plutôt que de s’éteindre et disparaître
dans les sables mouvants.
Un autre futur est possible.
A ceux qui pensent que l’on peut progresser sans détruire et changer pour évoluer, nous savons que notre société est en pleine reconstruction et que nous cherchons de nouvelles
valeurs. La société actuelle traverse une profonde solitude, un stress croissant, la peur de la précarité et l’émergence visible de la misère. L’éclatement de la sphère familiale fait que nous avons perdu nos repères et nos valeurs laissant place à une angoisse contraire à l’espérance de l’homme.
C’est pourquoi je m’adresse à vous, au nom de ceux qui croient en une société créatrice et réactive qui donnerait une chance de repartir dans la vie grâce à la tolérance face à nos
fautes et à ce droit à l’erreur qui rendra, à lui seul, notre société plus juste.
Je parle au nom de ceux qui sont persuadés que l’on peut faire beaucoup avec la haine mais tellement plus avec l’amour de son prochain.
Une société qui a fondé ses bases et ses valeurs sur le matérialisme illusoire, s’appauvrit en imposant l’individualisme et l’avidité de consommer immédiatement. Ne nous étonnons pas de la déstabilisation et des dérapages de notre société dans tous les domaines.
Une société qui n’a pour seul Dieu que l’argent est vouée à l’échec. Une société qui travaille de moins en moins démotive et perd les valeurs du travail, ce qui est contraire à
l’ambition et à la créativité. Dans les deux cas, l’être humain se voit dévalorisé.
Une société qui mange des fruits qui ont plusieurs couches de pesticides détruit irréversiblement sa santé. Nous constaterons dans quelques années des nouvelles maladies. Il en est de même et ce, dans peu de temps, nous pourrons associer une pathologie à l’égard de la génération qui a consommé énormément de conserves.
Une société qui permet tout juste à ses anciens de survivre est une société qui ne se respecte pas en ne leur accordant pas même la mémoire de leur travail. Il faut savoir qu’aujourd’hui des personnes âgées ne peuvent acheter plus d’une demi-baguette par jour.
Le problème des retraites et du pouvoir d’achat vont devenir plus que prioritaire, cette question ayant été négligée des années durant.
On s’aperçoit aujourd’hui que l’on n’avait aucune solution face à ce grave problème qui est devenu une question de survie. La situation est alarmante.
Nous avons fait un sérieux amalgame entre la pollution émanant de l’homme, le réchauffement planétaire et la fonte des glaciers. Avec notre mauvaise foi, nous rendons la nature
responsable des conditions climatiques actuelles comme si elle pouvait l’être en ce qui concerne les émissions de gaz CO2, le réchauffement planétaire en oubliant le déboisement des forêts ; en particulier, la forêt amazonienne, poumon de la planète. Il faut bien dire que personne ne fait le rapprochement entre le papier consommé et les arbres abattus.
Combien d’arbres faut il détruire pour obtenir une tonne de papier ? Le savez–vous ?
Pour une tonne, il en faut 17.
Une société qui à elle seule produit des millions de véhicules crée une chape de pollution à l’ozone au-dessus de nous et celle-ci, de mauvaise foi, s’en accommode plutôt que de remettre en cause les systèmes économiques encore une fois basés sur le profit.
La fonte des calottes glaciaires est l’événement écologique majeur que l’on ne peut plus maîtriser, personne n’ayant pris conscience des dangers de cette catastrophe naturelle
inévitable. Des tsunamis interviendront entre 2010 et 2020, les mers et les océans submergeront une grande partie des terres. A cette même époque, la médecine fera des progrès
considérables ; les chercheurs trouveront dans les fonds marins et dans les algues une substance qui guérira de graves pathologies.
Une autre découverte médicale extraordinaire permettra de guérir une maladie contagieuse grâce aux cellules sanguines issues du cordon ombilical.
Une société qui déverse dans les mers des nappes d’hydrocarbures et autres déchets rendant les littoraux et les plages impraticables dont certaines, même, transformées en cimetières d’oiseaux et anéantissant la flore marine, prélude à une catastrophe écologique majeure car aujourd’hui plus rien ne peut stopper les irresponsables. La pêche industrielle et la disparition d’espèces (cétacés, thons, morues, oiseaux marins et la liste n’est pas exhaustive), ainsi que la destruction des zones de reproduction, brisent la chaîne alimentaire et nous mène directement à réduire la mer en désert écologique.
Qui n’a jamais mangé, sans trop se poser de questions, un poulet voir un steak au goût de poisson.
Cette société qui s’habitue à voir flotter des poissons morts à la surface de nos rivières et de nos mers est une société indifférente qui a perdu tout respect de la vie s’exposant à un
effet de boomerang. Par la relation de causalité, il est inévitable que la nature règle ses comptes avec les hommes. « La guerre de l’eau » qui se prépare, hélas, sera un enjeu financier majeur.
Une société, dite moderne, dont le credo est la compétitivité à tout prix et à tous les niveaux qu’ils soient professionnels ou familiaux et marchant sur les pas de l’individualisme, expose l’individu à de brusques revirements de situations en abandonnant ceux qui se trouvent au bord du chemin et en marge lorsque leur vie tourne à l’envers.
Celle-ci oblige à vivre dans une forme de précarité qui affaiblit les plus vulnérables en les entraînant vers le désespoir.
Une société qui voit le nombre de suicides augmenter gravement est une société aveugle qui refuse d’accompagner quiconque dans les mutations profondes qui marquent une époque, transformant ainsi les valeurs en sables mouvants piégeant ainsi les plus faibles qui ne savent pas se défendre et qui ne trouvent plus de sens à leur vie sur terre. Ils sont donc marginalisés par l’incompréhension qu’ils suscitent.
La société a souhaité se formater et nous a donc enfermés dans les statistiques, grilles de lecture, classements ou chiffres en oubliant que des êtres vivants et, en particulier, l’être
humain ne peut être réduit à une équation car la base même de son existence et de son progrès est la différence. Les nouveaux maîtres de ce monde ne nous conçoivent qu’à travers des statistiques afin d’élargir les marchés.
L’uniformisation des 35 heures de travail hebdomadaire, n’apporte aucun avantage, puisqu’il faudrait tenir compte pour progresser des catégories professionnelles.
Il en est de même pour l’âge de la retraite, tout le monde n’a pas le désir de cesser complètement son travail au même âge. Certains mourraient d’ennui en étant coupés du monde,
alors que d’autres rêvent de pouvoir garder un contact avec le monde du travail. Il existe aussi une 3ème voie, ceux qui voudraient développer l’idée d’une année sabbatique pour réorganiser leur vie avant de reprendre une nouvelle activité grâce à un nouveau regard sur l’avenir.
Les exemples sont frappants quant à leur tendance à formater :
il faudrait que nous partions tous au même âge à la retraite, mais c’est faire peu de cas des différences dans la vie professionnelle, des pénibilités de certains métiers, et de la volonté de chacun de se maintenir en activité. La création des 35 heures fut une fausse solution face à un vrai problème de l’emploi car les métiers pénibles devraient être étudiés et les heures de travail devraient être adaptées à la catégorie professionnelle s’y rapportant et les autres devraient jouir de plus de liberté d’action.
A peine né, nous coûtons ou rapportons et il en sera désormais ainsi durant toute notre vie. Nous sommes devenus des codes barres étudiés en permanence à travers des listings
informatiques qui traquent en temps réel nos comportements. Nous constatons tous que l’informatique nous a privés définitivement de toutes libertés. Nous sommes suivis à la trace de tous nos faits et gestes qui sont décryptés, analysés pour des besoins économiques et de consommation.
Quant à nos libertés individuelles, pour les préserver, il nous faudra respecter la notion de laïcité, éviter les amalgames et les affichages religieux. Pour y parvenir, il faudra lutter
contre l’ignorance pour que chacun ne se sente pas enfermé dans la culpabilité. Toutes les religions confondues, dès lors où elles font l’objet de débats excessifs, nous font courir le risque de dérapages fanatiques créant ainsi des divisions très dangereuses et destructrices dans les rapports humains. La religion doit être une confession de foi intime et
strictement personnelle.
Trop de gens se battent et s’entretuent au nom d’un Dieu dont l’existence reste encore à prouver.
Combien de parents s’opposent à un mariage sous prétexte que les futurs mariés ne sont pas de confession identique ? Ce drame se produit encore, hélas, trop souvent à notre
époque.
Notre société ne laisse guère le choix aux femmes qui préféreraient élever leurs enfants plutôt que de travailler à l’extérieur. Une grande partie de ces femmes ressentent un
manque par le fait qu’elles ne peuvent s’occuper de leurs enfants comme elles le désireraient.
Que peut comprendre un enfant en bas âge levé aux aurores, vite emmené, soit chez la nounou, soit à la crèche, ballotté dès son plus jeune âge, et qui devra suivre ce
rythme durant de longues années. Le système social génère de cette façon des individus stressés avec toutes les conséquences que l’on peut imaginer. Lorsque ces couples font les comptes de leurs dépenses, ils se rendent à l’évidence qu’ils travaillent pour environ 250 euros par mois. Cela ne représente pas grand-chose compte tenu des sacrifices et privations absorbant toute qualité de vie.
La course à la survie oblige la plupart des parents à travailler tous les deux et ainsi trop d’enfants ou d’adolescents se retrouvent seuls dans la rue ou chez eux entre la télé et le réfrigérateur après l’école. Ils s’abrutissent devant un écran aux programmes insipides ou violents ; pire, à passer des heures avec des jeux vidéo où on apprend à découper des
êtres virtuels en tranches et dont les seules finalités sont la violence et la destruction de l’autre. Il est remarquable de constater que les héros d’aujourd’hui sont des êtres glorifiés
par la mort qu’il donne ce qui les rend invulnérables aux yeux de leur public.
Notre société dépense des milliards dans des domaines qui ne représentent pas des priorités absolues, ce qui nous conduit à penser qu’il faudrait réaménager la gestion de la fiscalité.
Il pourrait être question de mettre en place un impôt de base obligatoire, par secteur, afin que le contribuable puisse au moins en partie décider du domaine d’affectation de sa contribution fiscale. Ceci permettrait de connaître les priorités économiques des français.
L’Etat serait ainsi en phase avec les contribuables et les domaines dans lesquels se porterait le choix des français. Le prix du nouveau porte-avions qui remplacera le Charles de
Gaulle représente le prix de la construction de 50 hôpitaux.
Dans le domaine médical, il faudra penser à revaloriser le travail des médecins et le personnel médical qui, pour certains, gagnent moins que ma gardienne.
L’insécurité croissante que génère notre société est la résultante d’une Europe désordonnée qui s’élargit plus vite que la gestion qui lui était rattachée, constituée de pays dont les cultures et les modes de vie ne sont pas compatibles entre eux. L’Europe, telle qu’elle est, profite largement à certains et pénalise très nettement notre pays. Oui, à une Europe gérable, avec 12 pays maximum mais non au dérapage qui a eu lieu autour de ce projet dont les 27 pays qui la composent n’a plus aucun sens. L’insécurité et la violence gagnent du terrain un peu partout. Dans ce mode de vie où nous avons perdu tous nos repères, où les valeurs fondatrices de notre société sont mises à mal par le règne sans partage du chacun pour soi et la toute puissance de l’argent qui suscite la tentation de ceux qui croient pouvoir s’enrichir très facilement. L’Europe est vouée à l’échec tel qu’elle est construite et l’ouverture des frontières tous azimuts accentuent les problèmes de gestion territoriale.
Pendant des millénaires, le cycle biologique et la vie humaine ont été réglés par les rythmes du soleil et de la nature.
Nous avons décidé par souci d’économie illusoire d’inventer de toutes pièces un décalage horaire de 1 heure en hiver et de 2 heures en été : personne aujourd’hui n’a évalué les
graves problèmes de santé, l’épuisement, le stress qu’engendrent ces horaires faussés. La nature autant que les hommes souffrent consciemment ou inconsciemment de ce dérèglement programmé par l’homme. N’oublions pas que lorsque nous déjeunons à midi en été, il est en réalité 10 heures du matin. Il n’est pas rare de constater que dans certaines villes, les éclairages publics fonctionnent en plein jour !
Où sont donc ces fameuses économies d’énergie ? Par ailleurs, les inconvénients rattachés à ce décalage horaire génèrent certainement des dépenses médicales plus importantes
que l’économie de l’énergie non utilisée, cela vaudrait la peine de se pencher sur ce problème.
Il est inévitable de ne pas se poser la question de la sécurité sociale, sans penser immédiatement qu’aucune solution ne peut être viable lorsque l’on s’attaque aux effets
sans changer la cause. Dans le principe, il devrait y avoir plusieurs cartes de sécurité sociale qui identifient des schémas de fonctionnement différents. Ce sujet, à lui tout seul, mérite un vaste développement lorsque l’on sait que n’importe qui passant dans notre pays bénéficie de la sécurité sociale, que la catégorie n° 2 en a réellement besoin, et la
3ème catégorie de personnes particulièrement aisée, dont les revenus dépassent 7.000 euros par mois, sont prêts spontanément à régler tout ou partie de leurs frais médicaux.
J’exclus bien évidemment les coûts d’intervention chirurgicale onéreuse.
La sécurité sociale est le 1er consommateur de médicaments pour les laboratoires, elle représente un client privilégié alors pourquoi n’obtiendrait elle pas des tarifs privilégiés qui feraient baisser le prix des médicaments ?
Quant aux laboratoires pharmaceutiques, ils devraient créer un fonds de solidarité afin d’offrir en commun des médicaments aux personnes âgées.
Celui-ci peut aussi être alimenté par des personnes privées qui feraient un geste humain en versant à la banque médicale des fonds dans le même but, permettant ainsi à des personnes âgées d’obtenir des médicaments gratuitement.
La violence est devenue un produit de consommation courante, qui représente une part importante du marché pour ses producteurs qui ont tout intérêt à la diaboliser pour occuper le terrain le plus longtemps possible. Les conséquences sont terribles, car pour un nombre croissant de consommateurs virtuels, il est de plus en plus difficile de distinguer le réel de la fiction. Aujourd’hui la violence est partout, à l’école, dans la rue, à la maison, dans les transports, on assiste à un affichage d’une violence que nous devons de gré ou de force intégrer.
L’argent est l’unique élément de valeur de notre société et il est devenu l’étalon pour déterminer la réussite d’une personne. Nous assistons à l’inversion qui s’impose, faisant que l’on s’attache à l’image extérieure en ignorant les valeurs profondes de l’être humain et nous savons tous que sans argent aujourd’hui, nous sommes radiés de la carte économique.
Dans cet empire matérialiste, les valeurs humaines sont faussées. La société nous pousse jusqu’à trahir au profit d’enrichissement matériel, nous constatons même des déchirures familiales lors de succession ou de partage et des personnes vont même jusqu’à ne plus se parler à vie. J’ai aussi connu l’histoire d’une jeune femme qui était recherchée par son ex.
Pour 20 euros qu’elle avait empruntés, elle a dû quitter la France pour fuir le danger.
Notre société nous incite à surconsommer pendant qu’une partie du globe meurt de faim, il s’agit du Tiers monde et l’autre se bat à coup de régime pour perdre des kilos. Les grandes enseignes alimentaires jettent en fin de journée, honteusement, des quantités impressionnantes de denrées qui permettraient d’alimenter une population qui vit dans le besoin et qui est proche de nous. Notre système est basé sur le principe de la rentabilité, faire de l’argent à tout prix. D’ailleurs, moins vous avez d’argent et plus vous payez cher, agios, frais bancaires, etc.
L’Etat ne protège pas suffisamment ses citoyens, puisqu’il vient à son tour rajouter des amendes, des taxes, des surtaxes, tout est organisé de manière à ce que vous n’ayez plus aucune chance de vous en sortir et comme, à notre époque, la solidarité ne s’inscrit pas dans la ligne de conduite de notre société, elle est exclue de nos références et vous vous retrouvez seul et marginalisé si vous perdez pied.
L’emploi est un problème gravissime dans notre pays tout simplement parce qu’il est surtaxé, autant pour l’employeur que pour l’employé. L’état ne devrait en aucun cas prendre
de TVA sur la part du chiffre d’affaires de l’entreprise destinée à payer ses salariés, puisque ceux–ci sont taxés à leur tour.
Pour relancer la croissance, il faudrait créer une souplesse de l’emploi et accorder des aides aux entreprises avec des salaires corrects (1.500 € par mois) car la politique actuelle consiste à apporter des aides aux entreprises sur les bas salaires; peut–être, qu’un jour, pourra–t’on en finir avec le misérabilisme, la précarité et l’assistanat.
La fascination de notre société pour les Etats-Unis et le modèle américain nous entraînent sur le chemin de la copie pure et simple de cette forme de société, abolissant l’esprit critique et nous empêchant de voir les revers du modèle américain. Il est difficile de comprendre comment calquer notre pays sur celui d’un modèle démesuré.
La géopolitique et la mondialisation forment la science humaine la plus puissante et à la fois la plus dangereuse. Le découpage arbitraire du globe terrestre pose le problème des rattachements géographiques et des écarts de culture.
La géopolitique essentielle est celle qui considère la planète comme un être vivant de la naissance à la mort avec ses humeurs, son évolution, ses forces et ses faiblesses comme l’individu.
La géopolitique représente le macrocosme de l’humanité régit par ses propres lois naturelles qui peuvent révolter la planète lorsque l’homme veut trop la faire plier à sa
volonté.
Une société qui apporte des solutions à des problèmes que nous n’avons pas en occultant les vraies questions de fond est une société qui s’infiltre dans l’erreur.
Une société devenue suspicieuse envers ceux qui réussissent est une société qui perd ses ambitions et qui voit s’éteindre les lumières de l’intelligence.
Une société dans laquelle le coût de la santé devient exorbitant creusant des déficits énormes sans pour autant assurer un service de santé moderne et professionnel se contentant
de soigner les effets en disséquant les conséquences sans jamais s’attaquer aux causes est une société qui ne peut que s’engouffrer dans le surendettement puisqu’elle conduit ses réformes à l’aveugle. Je pense bien sûr à la sécurité sociale dont les remboursements devraient s’appliquer en fonction des revenus. On peut penser également à la
création d’un fonds de solidarité, une fondation qui aurait un rôle purement social par laquelle passeraient les étrangers malades lors de leur séjour en France.
Une société qui se laisse dominer par la mondialisation perd sa propre identité, se normalisant et se fondant dans l’imperson-nalité de l’économie mondiale. Le rejet de la diversité et la créativité multiculturelle conduiront à l’avenir un stéréotype alimentaire, culturel,…
Nous préparons actuellement la définition future de ce que nous consommerons demain.
Une société qui accepte de rémunérer un chômeur sans aucune contrepartie s’expose au découragement de ceux qui travaillent et encourage la création d’une société d’assistés
accrochés à l’état « providence » qui leur donnera tout ce dont ils ont besoin les rendant ainsi entièrement dépendants d’un misérabilisme qui ne peut que proliférer.
Dans une société où les banques ont des pouvoirs abusifs, où les entreprises sont suspendues à leur bon vouloir de vie ou de mort sur leur travail, exploitant un système bancaire omnipotent et répressif, sont responsables bien souvent de cessations brutales d’exploitation.
Il faut savoir que, lorsque vous recevez un avis à tiers détenteur, la banque va payer l’huissier quitte à creuser un découvert sur votre compte même en cas d’absence de provision alors qu’elle vous refuserait à vous, directement, un découvert du même montant.
Une société qui impose à tous le même âge pour la retraite nous plaçant ainsi sur le même pied d’égalité quand à la durée de la vie professionnelle est une aberration. On ne prend même pas la peine de classer les catégories professionnelles en fonction de leur pénibilité.
Seule la médecine récente commence à tenir compte des maladies professionnelles. Nous ne sommes donc pas tous égaux devant le travail.
Une société qui ne respecte pas la nature et les animaux qui vivent dans des conditions indignes est inacceptable.
Il faut savoir qu’aucune loi n’oblige les paysans à rentrer leurs animaux l’hiver et que, par conséquent, ces bêtes sont dehors par tous les temps même quand le thermomètre est largement en-dessous de zéro.
Il faudrait légiférer sur ce sujet d’une extrême importance.
Des informations importantes nous apprennent que la crainte première de presque 75 % des français est de se retrouver un jour sans toit. Qui aurait cru cela il y a 20 ans ? Sans
noircir le tableau, au même moment, on apprend que le nombre de français qui font les poubelles pour s’alimenter est en constante croissance. Il faudrait réellement se rapprocher
des solutions.
Il y a chaque année environ 160.000 personnes qui tentent de mettre fin à leurs jours et 12.000 y parviennent. Là aussi, il faudrait s’investir pour faire baisser ce chiffre qui est
insupportable et qui cache très certainement une immense détresse.
Pour changer notre société :
Seriez-vous d’accord pour que la femme qui le souhaite puisse élever ses enfants jusqu’à l’âge de 5 ans et perçoive une allocation comme un salaire, ces femmes laissant alors des emplois vacants pour d’autres personnes ?
Il est certes plus valorisant de rester en prise directe avec le monde du travail plutôt que d’être inactif au chômage. Alors demain plus de chômeur, ces personnes vont trouver un travail d’intérêt public, 5 heures par jour pour la collectivité. Ces postes seront disponibles sur Internet sur un site que l’on pourrait intituler : emploi.transition@gouv.com par exemple et le ministère du travail tiendrait à jour la liste de ces emplois et stages disponibles.
Pensez-vous que redémarrer dans la vie sociale après une liquidation judiciaire par exemple, ou une épreuve personnelle est facile, alors une loi devrait permettre de vous aider à reconstruire votre vie en vous procurant les moyens de vous réorganiser (logement, sécurité sociale, indemnités, prêt bancaire sous réserve de dossiers sérieux, etc.) ?
Etes–vous d’accord qu’il soit décent que les personnes âgées seules puissent être parrainées par des familles pour les aider à rompre la solitude et que leurs conditions de vie
économiques soient améliorées ? Il faut permettre aux personnes à la retraite et encore valides de pouvoir trouver une occupation leur permettant d’améliorer leurs revenus sans que cela obère leurs retraites (gardes d’enfant pendant les congés, petits travaux de voisinage, emplois dans les associations, etc.) et surtout animateurs de stage dans les entreprises afin de faire partager leur expérience professionnelle et de garder le contact avec la société.
Il est prouvé que les personnes âgées qui sont entourées et qui ont des projets vivent mieux, plus longtemps, et échappent souvent à la maladie.
Si vous êtes d’accord pour que la connaissance soit partagée et que cet échange soit très enrichissant, alors vous pourriez organiser par exemple un stage annuel dans une société qui permettrait d’exercer une activité inconnue dans un domaine désiré.
Si vous pensez que la créativité rassemble, alors des groupes d’artistes pourraient exposer leurs œuvres dans les hôpitaux ou dans des centres de réinsertion, moyennant l’offre, de leur propre gré, de quelques-unes de leurs œuvres à ces établissements.
Si vous pensez que le talent et le savoir–faire méritent d’être reconnus, artisans, couturiers, parfumeurs, cinéastes, écrivains, artiste, créateurs, chefs d’entreprise, enseignants, ouvriers, employés, avocats, secrétaires, commerçants, architectes, et tous les gens de métier qui ont leur propre savoir–faire pourraient tous les ans présenter leur savoir pour tenter de susciter de nouveaux talents, et obtenir un financement pour concrétiser un projet.
Des concours pour l’embellissement de nos villes et villages pourraient voir le jour et s’adresser à un nombre plus grand d’intervenants de nos régions, nous pourrions profiter ainsi pleinement de la maîtrise de leur art et faire renaître la vie dans certains villages aujourd’hui presque à l’abandon.
Si vous pensez que l’on apprend à tout âge, alors ouvrons des centres d’enseignement pour adultes, nouveautés technologiques, géographie, histoire, écologie, langues étrangères y seraient enseignées en boucle et en classe ouverte à chacun sur simple présentation de la carte d’identité pour des stages, des séminaires et des cours.
Si vous pensez que les contrats de travail ne correspondent pas à la réalité et que les lois cristallisent l’emploi plus qu’elles ne le fluidifient, laissons plus de liberté entre l’employé et l’employeur, une période d’essai de deux ans est un non sens puisque ce contrat « nouvelle embauche » existe toujours mais les tribunaux ne le reconnaissent pas.
Mettons en place des contrats «test » jusqu’à 3 mois d’essai, pour certaines professions, contrats à clauses définies, reposant sur quelques critères essentiels concernant le poste de Monsieur ou Madame x, et mettant ainsi l’employé à l’abri d’un licenciement fantaisiste.
En revanche, arrêtons la dérive des actions aux prud’hommes qui condamnent les petites et moyennes entreprises à payer des indemnités de licenciement parfois plus importantes
que la valeur de leurs entreprises et sont dans l’obligation de s’endetter ou de déposer le bilan suite à des indemnités compensatoires souvent disproportionnées.
La loi rend très difficile un licenciement après la période d’essai et oblige pratiquement les entreprises à faire de la mauvaise gestion pour garder à tout prix un salarié démotivé
qui propage un mauvais esprit dans la société. Par ailleurs, il devrait exister des récompenses et des distinctions honorifiques pour les salariés qui ont participé à l’essor de leur entreprise et favoriser des résultats économiques.
Ne pensez-vous pas que certaines lois datant de Napoléon 1er n’ont plus leur place dans notre société ? La loi dit qu’il n’y a pas vol entre époux, cela était valable à cette époque où la femme dépendait économiquement de son mari. Cette loi en s’appliquant encore actuellement peut léser totalement une femme, qu’elle soit ou non mariée sous le régime de la communauté ou de la séparation de biens. Elle peut ainsi tout perdre et être totalement démunie, voire dépouillée si elle a des biens propres.
Seriez–vous d’accord pour qu’un certificat de conformité devienne obligatoire de par la loi, délivré par un organisme d’état chargé d’inspecter les logements proposés à la location, obligeant les propriétaires à mettre leurs locaux en état, nous ferions travailler les artisans et autre métier du bâtiment ? Ainsi, serait établi le droit de tous, d’être logé dans des appartements ou autres lieux d’hébergement dignes de notre société moderne.
En revanche, les propriétaires d’un bien immobilier doivent pouvoir faire face à leurs crédits grâce aux loyers qu’ils perçoivent. Pour ce faire, ne pourrait-on pas créer la constitution d’un dépôt de garantie en partenariat avec les banques ou les assurances qui règleraient ce dépôt au propriétaire que nous rembourserions sur la même durée que le bail ?
Il pourrait aussi exister des contrats d’assurance que nous souscririons personnellement lors de la location d’un appartement, en cas de défaillance de règlement des loyers, afin d’éviter d’avoir à fournir un nombre de documents tellement important que la démarche devient impossible et décourageante. Il faut absolument faciliter les démarches administratives des français, car nous allons bientôt passer plus de temps à gérer du fonctionnariat
plutôt qu’à travailler.
La nouvelle loi votée récemment qui limite la caution de location à un mois maximum de loyer ne sert pas à grand-chose puisqu’elle n’interdit pas aux propriétaires de demander une caution bancaire équivalente à un an de loyer, plus un dépôt de garantie de 2 mois. Le problème du logement n’est toujours pas réglé.
Ne pensez-vous pas que nous devrions développer l’aide et le secours de proximité en incitant les gens à signaler ceux qui n’osent pas parler de leur précarité ou prévenir les services compétents afin d’éviter bien des drames ? Un organisme de quartier en relation avec la mairie devrait pouvoir régler ces problèmes beaucoup plus rapidement et ne pas laisser en suspens les dossiers qui sont urgents.
Notre société demain devra apprendre à s’auto-protéger et pour cela, nous devons nous ouvrir à l’intérêt collectif et nous sortir de l’individualisme dans lequel nous nous sommes
progressivement enfermés.
Nous devrions, plutôt que de vivre dans le sentiment d’abandon, reprendre espoir pour renouer le lien social indispensable à l’harmonie de chacun. La politique, c’est peut-être
simplement apprendre à vivre et évoluer ensemble pour mieux se connaître et faire progresser notre société.
PENSER AUTREMENT
· Parce que nous voulons une société plus humaine.
· Parce que nous refusons l’assistanat.
· Parce que nous ne voulons pas travailler plus pour ceux qui ne font rien.
· Parce qu’il faut soutenir ambitions et volontés.
· Parce qu’il faut récompenser les métiers les plus pénibles.
· Parce qu’il faut créer des centres d’urgence médicale en dehors des hôpitaux.
· Parce qu’il ne faut pas surtaxer, écraser de frais, d’agios, de pénalité celui qui se trouve dans de graves difficultés financières, contrairement à la société actuelle qui fait payer plus cher celui qui ne peut pas payer.
· Parce que la loi doit accorder un temps à chaque personne pour restructurer matériellement sa vie, en cas de nécessité.
Mettre fin définitivement à l’assistanat et à la précarité qui marginalisent les gens qui deviennent totalement dépendants de la société, en survie permanente, en leur donnant la
possibilité de s’assumer et de s’intégrer.
Il faut redonner à chacun la possibilité de regagner sa dignité, de s’exprimer et de s’intégrer.
Parce que notre société devrait développer l’entraide de proximité en instaurant un système de parrainage dans lequel celui qui s’investit se rend utile à son prochain en se valorisant sur le plan humain, il est aussi important de donner que de recevoir.
Scandaleux qu’un chef d’entreprise se retrouve dans l’obligation de vendre son affaire pour payer un prud’homme qui représente plus que la valeur de l’entreprise, qui n’a plus
qu’à regarder s’éteindre sa société, parce qu’il ne peut assumer une condamnation prud’homale qui n’a aucun rapport avec la réalité économique.
Oui à la liberté du travail employeur/employé et à la souplesse de la collaboration en toute équité.
Oui à l’intéressement des employés qui contribuent au développement et à l’expansion d’une entreprise.
Non aux entreprises qui sont dans l’obligation de faire de la mauvaise gestion pour supporter un employé qui fait du chantage. Il est vrai qu’aujourd’hui, l’employeur, le chef d’entreprise n’ont aucune liberté d’action, il n’est plus chez lui et ne peut librement gérer son entreprise, écrasé par les lois de toute nature. De nos jours, c’est l’employé qui propose au patron de se faire licencier à la moindre réflexion. Inversement, il y a des patrons, des employeurs qui vous mettent une pression telle que votre état de santé vous fait courir des risques de dépression par peur de perdre son emploi. D’un extrême à l’autre, le système est mauvais pour tout le monde.
Il devrait être interdit à notre époque qu’un huissier puisse procéder à des saisies chez les plus démunis entraînant des traumatismes chez ces personnes qui, de plus, ne connaissent pas les lois et ne peuvent jamais se défendre juridiquement. Il faudrait créer un système de protection accessible immédiatement à tous ceux qui traversent une phase
précaire.
Cessons de mêler les faux problèmes raciaux pour diviser les gens et réorganisons le travail`des étrangers dans notre pays en fonction des disponibilités économiques. La priorité d’un emploi devant revenir à ceux qui vivent dans notre pays.
Acceptons la multiculture qui n’a rien à voir avec le problème de l’intégration et calculons combien d’étrangers peuvent entrer dans le pays chaque année, pour combien de temps et pour quelle branche d’activité professionnelle, pour lesquelles nous avons des disponibilités.
Exemple : nous n’allons pas accepter l’intégration de pâtissiers si nous avons déjà énormément de chômeurs dans cette activité économique.
En étudiant ce sujet avec objectivité, nous nous rendrons compte que nous pouvons accueillir des étrangers dans notre pays avec fierté et dans des conditions favorables qui les mettront à l’abri des illusions en leur évitant des expériences cauchemardesques.
Cessons de banaliser la violence en apprenant à communiquer, car la violence est une réponse dictée par l’ignorance qui n’apporte aucune solution.
Nous pourrions mettre en place des points d’accueil et d’écoute destinés aux adolescents qui souhaitent s’exprimer et se reconstruire sur des bases nouvelles.
Les jeunes se sentent de plus en plus seuls face à une détresse ou errance et c’est là que commence la tentation du suicide, les parents doivent tout faire pour que leurs enfants restent en permanence en contact avec la vie.
Est-il incontournable de souffrir à travers une épreuve, doit on passer par un deuil, un bouleversement, une rupture (de plus en plus fréquente au milieu de la vie), pour comprendre
que les 7 milliards d’êtres humains sur cette terre ont une fibre humaine et que nous sommes faits des mêmes éléments mais dans des proportions différentes.
Aujourd’hui, l’objectivité pour l’amélioration de la qualité de vie pour notre monde est avant tout une idéologie réaliste, une logique qui se dessine par l’observation du monde
qui nous entoure.
Il n’est pas besoin d’être à gauche pour être humain, il n’est pas nécessaire d’être à droite pour respecter les traditions, il est inutile d’appartenir à un mouvement écologique pour
préserver la planète et en assurer sa défense, les extrêmes dans tous les systèmes de pensée n’ont généré que de la violence.
Peut-être, avons-nous besoin de sagesse et de moins de folie pour donner à notre univers une forme plus humaine, et qui sait si le monde entier s’arrêtait quelques instants pour
méditer sur son sort, nous pourrions alors sortir des milliards d’individus de la pauvreté.
Le choix politique est avant tout un modèle de société qui prend ses décisions en préservant les richesses de ceux qui ont eu la chance de bâtir des affaires prospères, tout en aidant les moins favorisés à s’élever.
Si les chances naturelles ne sont pas égales à la naissance, nous pouvons tout mettre en œuvre pour les augmenter et en donner à tous et dans tous les domaines.
N’oublions pas que notre société connaît une progression extraordinaire. Notre siècle marque la fin de la barbarie avec l’abolition de la peine de mort, résultat du combat de
toute une vie de Monsieur Badinter. La chute du mur de Berlin symbolise la liberté et l’ouverture de l’Europe. Sur le plan médical, la découverte des cellules souches permettra des guérisons spectaculaires par anticipation.
La médecine se tourne déjà vers la prévention et la chirurgie moderne connaît une évolution exceptionnelle.
La France a des ressources intellectuelles très importantes, il faudrait encourager tous ceux qui ont exporté leur savoir à revenir et créer pour cela une société avec un état d’esprit collectif en phase avec le progrès.
Ce dossier s’adresse à tous les Français et à la classe politique qui nous dirige afin que nous puissions nous rapprocher plutôt que de nous diviser, pour que notre pays sorte de cette crise mondiale et devienne un exemple dans le monde.
Au nom de l’âme verte qui m’a aidé à grandir, j’ai prêté serment devant des millions d’étoiles pour contribuer à réconcilier la nature, les êtres humains et les animaux.
L’entraide oui, l’assistanat non
MARIELLA MADONNASOFT-CONSULTING
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